SIX JULES EN ARIEGE (MAI 2015)
La
traditionnelle réunion de la 39° promo
Le
programme concocté par Robert et Marie Claude était dense. Visite de la ville
d’Ax les thermes, avec ses fontaines où l’eau jaillit à 70° C. Ville avec de
nombreuses belles demeures, un circuit touristique faisant découvrir l’évolution
de cette ville de cure. Nos amis avaient tout prévu, même un bain de pieds dans
le pédiluve municipal.
Le
lendemain matin, visite de la centrale hydroélectrique d’Aston, par le
directeur. Description générale des prises d’eau, présentation de la salle de
commande, au passage, repérage des nombreux cadrans qui n’étaient pas des
« Jules Richard », personne n’est parfait ! Et enfin un petit
tour dans le hall des machines avec quatre
turbines « Pelton », tous équipés de casques et de bouchons dans
les oreilles (www.energie.edf.com/, www.lenergeek.com/).
Pour déjeuner, Robert avait
demandé au restaurateur du plateau de Beille d’ouvrir spécialement pour nous.
La vue sur la chaine pyrénéenne encore enneigée était superbe, la montée aussi
avec une pensée pour les coureurs du Tour de France qui auront à l’escalader
cette année.
L’après-midi, une autre visite bien particulière, celle de la mine de talc à ciel ouvert à Trimouns. Il s’agit du plus important site de production au monde, appartenant à une société française Imerys. On était bien loin de la micromécanique, les « dumpers » pouvant transporter 100 tonnes de minerai d’un coup faisant un véritable ballet sur les différents niveaux de la mine. (www.ariege.com/geologie/talc/). Puis, retour sur Aston par des toutes petites routes de l’Ariège profonde, pour déguster une excellente paëlla dans une ambiance musicale et joyeuse.
L’après-midi, une autre visite bien particulière, celle de la mine de talc à ciel ouvert à Trimouns. Il s’agit du plus important site de production au monde, appartenant à une société française Imerys. On était bien loin de la micromécanique, les « dumpers » pouvant transporter 100 tonnes de minerai d’un coup faisant un véritable ballet sur les différents niveaux de la mine. (www.ariege.com/geologie/talc/). Puis, retour sur Aston par des toutes petites routes de l’Ariège profonde, pour déguster une excellente paëlla dans une ambiance musicale et joyeuse.
Le programme du lendemain était tout
différent. L’Ariège possède de très nombreuses grottes qui font le plaisir des
spéléologues. Le matin visite en bateau de la grotte de « Labouiche »
sur la rivière souterraine. Très belle excursion à 60 mètres sous terre. Seul
petit inconvénient les quelques deux cents marches pour remonter qui, à nos âges, ne se font plus en
courant ( www.labouiche.com/) . Le repas fut pris dans une ferme totalement rénovée dans
une ambiance très conviviale. L’après-midi une nouvelle curiosité « le Mas
d’Azil ». Là, nous étions dans les périodes préhistoriques
magdaléniennes et azilliennes. C’est un lieu pittoresque qui surprend dès la première
approche avec l’immense porche traversé par la rivière et la route. (www.grotte-masdazil.com).
Merci à nos amis Robert et Marie Claude pour ces
belles découvertes et pour toute l’organisation parfaite.
Michel et Solange Knoderer se sont proposés pour
organiser l’an prochain les retrouvailles de la 39°.
Au fait, nous n’avions pas oublié, et cela fait
toujours du bien de se le rappeler, qu’il y a cinquante ans, en 1965, la 39°
promotion faisait 100 % de réussite au CAP de mécanicien en petite mécanique,
29 reçus sur 29 présentés. Merci à la direction de l’Ecole et aux professeurs
qui nous avaient si bien formés.
J.
Chatriot
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